L’urbanisation et les « nécessités » de la vie moderne peuvent devenir un faux prétexte pour réaménager ou détruire des sites patrimoniaux. Il est souvent plus facile de choisir de les détruire que de trouver des solutions durables et respectueuses du patrimoine. Les automobilistes, par exemple, doivent être conscients que leur mode de locomotion n’est pas adapté à une ville ancienne. À l’opposé, les autorités municipales, en charge de la protection du patrimoine, doivent imposer leurs plans de protection du patrimoine en sachant qu’elles posent un geste qui peut déplaire à certains intérêts dans l’immédiat, mais qui aura des répercussions positives à long terme. |
Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, La ville de Québec sous caricature [ Fermer ] |